Un dimanche matin, un jeune garçon assis au balcon de l’église est fasciné par le sermon du pasteur qui évoque la longueur, la largeur et la profondeur de la grâce de Dieu. Le pasteur conclut son message en résumant ainsi les grandes promesses des Écritures : « Nos péchés sont pardonnés, oubliés, purifiés, couverts, effacés tout comme un gros nuage qui disparaît. Ils sont éloignés comme l’est l’orient de l’occident, rejetés loin de Dieu. » À la fin du service, le garçon s’approche du pasteur et lui dit : « Beau sermon, pasteur ! On est assis à une bonne place, n’est-ce pas ? » Dieu t’a fait « asseoir en Christ » Il s’agit du miracle que Dieu a accompli pour toi, par l’intermédiaire de son Fils (voir Ro 8.1 ; 1Co 1.2 ;
15.22 ; 2Co 5.17 ; Ep 2.6–13). Le mot « en » te donne la certitude que, tout comme ta naissance naturelle t’a placé(e) en Adam, notre ancêtre, Dieu, lors de la nouvelle naissance, te place en Jésus, notre Rédempteur. Il est écrit : « Dieu est riche en miséricorde et, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos fautes, il nous a rendus à la vie avec le Christ, nous a ressuscités et fait asseoir ensemble dans les lieux célestes en Christ-Jésus » (Ep 2.4–6). Nous sommes assis ensemble, dans les lieux célestes, « en » Christ, et non « à côté » de lui. C’est encore mieux ! Nous sommes assis là, si étroitement identifiés à Jésus, que nous ne faisons plus qu’un avec lui pour toujours ! Est-ce que ce n’est pas une bonne position ?



