Parole du Jour

Bien élevés

PDJ-2019-01-24

Un enfant bien-élevé, c’est reposant. Un enfant mal-élevé, c’est fati­gant. Vous ne pou­vez l’emmener nulle part ni le con­fi­er à d’autres. Salomon a dit : « Celui qui [aime son fils] cherche à le cor­riger » (Pr 13.24) Mal­traiter un enfant est répréhen­si­ble, mais nég­liger son édu­ca­tion l’est tout autant. Sans dis­ci­pline, vous lui pré­parez une vie de cha­grin. Plus tard, face à une amende pour excès de vitesse ou un rap­pel de sa banque pour un décou­vert, piquer une colère ne lui suf­fi­ra pas pour se tir­er d’affaire. De grâce, pensez à son avenir. Dieu punit ses enfants. Seriez-vous plus sage que lui ? La Bible dit : « Toute cor­rec­tion, il est vrai, paraît être au pre­mier abord un sujet de tristesse et non de joie ; mais plus tard elle pro­cure un pais­i­ble fruit de jus­tice à ceux qu’elle a for­més » (Hé 12.11). Le caprice d’un enfant de deux ans, c’est mignon, mais à dix-sept ans, c’est plus vio­lent et moins drôle ! La Bible affirme : « La stu­pid­ité est attachée au cœur de l’en­fant ; le bâton de la cor­rec­tion l’éloign­era de lui » (Pr 22.15). La rébel­lion est inscrite dans ses gènes, et c’est à vous de l’en extraire. Oui, c’est dif­fi­cile d’user de dis­ci­pline alors que le temps passé avec lui est si court. Mais son avenir est entre vos mains. Un enfant sans lim­ites est comme une mai­son sans murs. C’est comme vivre sous un auvent, il n’est pas pro­tégé des influ­ences extérieures. Per­son­ne ne s’y sent en sécu­rité. Alors, adressez- vous à Dieu aujourd’hui. Il a lui-même des enfants et il veut vous aider à bien élever les vôtres.

Quitter la version mobile