Ésaïe nous rap­pelle que Dieu : « […] redonne des forces à celui qui faib­lit, il rem­plit de vigueur celui qui n’en peut plus. Les jeunes eux-mêmes con­nais­sent la défail­lance ; même les cham­pi­ons trébuchent par­fois. Mais ceux qui comptent sur le Seigneur reçoivent des forces nou­velles ; comme des aigles ils s’élan­cent. Ils courent, mais sans se lass­er, ils avan­cent, mais sans faib­lir » (Esa 40.29–31, BFC). Un aigle au sol est vul­nérable aux attaques des pré­da­teurs comme les ser­pents et les loups. Sur la terre ferme, c’est une réal­ité que l’aigle ne peut chang­er. Alors que fait-il ? Il prend de la hau­teur ! Depuis les airs, tout est dif­férent. L’alti­tude change son atti­tude, et ça peut vous arriv­er à vous aus­si. « Ceux qui comptent sur le Seigneur reçoivent des forces nou­velles ». Voici deux illus­tra­tions : 1) Comme un aigle attend, les ailes déployées, qu’un courant chaud le soulève vers le ciel, vous devez rester dans la présence de Dieu, le cœur en accord avec lui. Avez-vous des respon­s­abil­ités et des oblig­a­tions ? Oui, mais aucune n’est plus impor­tante que celle-ci. Pourquoi ? Parce que vous com­prenez que sans la présence de Dieu qui vous donne des forces nou­velles, vous ne réus­sirez jamais. 2) Comme un serveur empressé dans un bon restau­rant, dont le seul but est de vous sat­is­faire, vous êtes atten­tif à Dieu, réac­t­if à sa voix et soumis à sa volon­té. Les pres­sions de l’ex­is­tence vous ont-elles épuisé ? Regarder la télé vous diver­ti­ra peut-être un temps, mais ne rem­plac­era jamais ce que la vie vous a ôté. Seul Dieu peut le faire, alors apprenez à compter sur Dieu.