Lorsque vous êtes confronté(e) à un problème qui semble trop important ou qui vous dépasse, et que vous ne savez pas quoi faire ni où aller, utilisez la stratégie de l’attente. C’était celle de David, qui disait : « J’avais mis en l’Éternel mon espérance ; et il s’est incliné vers moi, il a écouté mon cri. Il m’a retiré de la fosse de destruction, du fond de la boue ; il a dressé mes pieds sur le roc, en affermissant mes pas. Il a mis dans ma bouche un cantique nouveau, une louange à notre Dieu. Heureux l’homme qui place en l’Éternel sa confiance. Tu m’as ouvert les oreilles » (v.2–5, 7). Attendre est difficile lorsqu’on est anxieux, et attendre patiemment l’est plus encore. Arrêtez-vous donc un instant, et pensez à celui que vous attendez : le Seigneur. Il est le Maître de toutes les situations, y compris de la vôtre. Arthur McKinsey écrit : « Si vous considérez un problème comme étant une ville médiévale fortifiée, sachez que beaucoup de gens l’attaqueront de front, comme un bélier. Ils prendront d’assaut les portes et essaieront de briser les défenses par leur puissance intellectuelle et leur génie. Mais moi, je campe simplement à l’extérieur de la ville, pour attendre, et réfléchir. Jusqu’à ce qu’un jour, peut-être, après m’être penché sur un problème complètement différent, le pont-levis s’abaissera et les défenseurs s’écrient : “On se rend !” La solution au problème arrive d’un seul coup ! » C’est de cette manière que l’on attend que Dieu agisse : pendant que l’on patiente, il travaille pour nous !
La stratégie de l’attente
