Un pasteur écrit : « On veut tous que chaque jour soit un bon jour. Mais alors, ils ne seraient plus bons, car il n’y en aurait pas de mauvais auxquels les comparer ! La maladie nous fait apprécier la santé, l’échec nous fait estimer le succès, l’endettement nous fait apprécier la richesse. Les moments difficiles nous permettent de profiter des bons moments. L’adversité fait ressortir le meilleur de nous-même et est souvent une bénédiction déguisée. Nous rêvons de vivre en apesanteur et imaginons une vie sans aucun problème, enjeu ou défi. Mais d’un point de vue physiologique, l’apesanteur est dangereuse pour la santé. Les astronautes le savent : sans aucune résistance, ils connaissent des complications médicales temporaires, et peuvent à peine marcher au retour sur terre. Sans résistance, ils perdent de la masse musculaire et de la densité osseuse, leur pouls est élevé et ils souffrent de palpitations. Nous rêvons peut-être d’apesanteur, mais ce dont nous avons vraiment besoin, c’est d’une bonne dose de gravité ! Les personnes que Dieu utilise le plus sont souvent celles qui ont le plus souffert. Ce n’est pas facile à entendre, mais c’est la vérité. L’adversité produit une capacité accrue à servir Dieu. » En clair, les épreuves me poussent à me tourner vers lui, à m’appuyer sur lui, à le rechercher et à le connaître mieux que jamais. Quelques grandes promesses de Dieu commencent par ces mots : « Tel sera l’héritage du vainqueur ». Il est dit aussi : « Le peuple de ceux qui connaissent leur Dieu agira avec fermeté » (Da 11.32).
Appelé(e) à vaincre (1)
