En cas de souci, rappelez-vous : 1) Le réconfort de Dieu est réel. Pensez à vos chagrins ou vos peurs d’enfant. Souvenez-vous du sentiment de réconfort que la présence de maman vous procurait. Le réconfort de Dieu est plus réel encore. « Comme un homme que sa mère console, ainsi moi je vous consolerai ». Dieu se soucie plus de vous que ne le faisait votre mère dans votre enfance. « Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite ? […] À supposer qu’elle l’oublie, moi, je ne t’oublie pas : j’ai ton nom gravé sur les paumes de mes mains » (Esa 49.15–16, BFC). Vous pouvez toujours compter sur Dieu quand vous avez besoin de réconfort ! 2) Le Consolateur vit en vous. Quand nous souffrons, Dieu semble loin et inaccessible. Mais il ne l’est pas. Jésus déclare à ses disciples, d’hier et d’aujourd’hui : « Je prierai le Père, et il vous donnera un autre Consolateur qui soit éternellement avec vous » (Jn 14.16). Le Saint-Esprit, qui demeure en vous à jamais, est plus proche de vous que l’air que vous respirez. Il est qualifié, disposé et prêt à vous consoler. Parfois il le fait en vous rappelant une partie d’une hymne, un vers d’un poème, un sermon entendu, etc. Dans ce cas, croyez-le. Dites-vous régulièrement : « Le Dieu de tout réconfort vit constamment en moi ! » 3) La Bible réconforte. Paul nous rappelle que « par la patience et par la consolation que donnent les Écritures, nous possédions l’espérance » (Ro 15.4). Quand vous êtes abattu, vous n’êtes pas toujours disposé à lire la Bible. Faites-le malgré tout. Elle vous apportera le réconfort que vous recherchez.