Lorsque vous don­nez pour répon­dre à la prière du Seigneur : « Que ton règne vienne ; que ta volon­té soit faite sur la terre » (Mt 6.10), il s’as­sur­era que vous aurez tout ce qu’il vous faut au moment oppor­tun. Voilà sa garantie, et elle devrait chas­s­er vos peurs de don­ner. En fait, la seule chose qui devrait vous préoc­cu­per à pro­pos du don, c’est de croire que Dieu se dés­in­téresse de votre sit­u­a­tion finan­cière. Vous ne pou­vez rien faire pour gag­n­er ou mérit­er l’amour de Dieu, mais vous devez éprou­ver votre foi et suiv­re ses instruc­tions si vous voulez obtenir ses béné­dic­tions. Alors voici la ques­tion que vous devriez vous pos­er : « Qui est le plus à même de sub­venir à mes besoins, Dieu ou moi ? » Si vous êtes prodigue avec Dieu, il s’as­sur­era que vous ayez plus qu’assez pour pou­voir con­tin­uer à être généreux. Mais il veut d’abord vous voir investi(e) davan­tage dans son roy­aume, non pour obtenir ce que vous voulez, mais parce que vous accordez plus de prix à son objec­tif éter­nel qu’à vos pro­pres intérêts. Êtes-vous prêt(e) à franchir le pas de la foi et prof­iter de la mois­son en invi­tant Dieu à s’im­pli­quer dans vos finances ? L’ar­gent est sou­vent la dernière porte que nous ouvrons à Dieu car nous pen­sons qu’il représente notre sécu­rité. Si vrai­ment vous voulez des finances saines, lais­sez Dieu s’en occu­per aus­si vite que pos­si­ble. Plus tôt vous sèmerez, plus tôt vous récolterez. Et vous ver­rez, vous ne retournerez plus jamais à vos anci­ennes habitudes.