La physicienne Marie Curie a été la première femme à recevoir un prix Nobel. Elle disait : « Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre ! » Il faut donc 1) se renseigner sur ce que l’on craint pour en dissiper le mystère et découvrir les mauvaises informations sur le sujet. 2) oublier ses inquiétudes pour se concentrer sur les promesses de Dieu : « N’aie pas peur maintenant, car je suis avec toi. Ne lance pas ces regards inquiets, car ton Dieu, c’est moi. Je viens te rendre courage, j’arrive à ton secours et je te protège, ma main droite tient sa promesse » (v.10). À mesure que la foi s’affermit, les craintes diminuent. 3) se détendre. Il faut s’imaginer être dans la paix et délivré de l’esclavage de la peur et en visualiser l’effet positif dans sa vie. 4) affronter pas à pas chacune des circonstances qui déclenchent la peur. Chaque obstacle franchi rend plus fort. Il faut s’engager à surmonter les craintes qui enlèvent la tranquillité. Jésus a dit : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Moi, je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble pas et ne s’alarme pas » (Jn 14.27). « Ne pas » est répétée trois fois. Je ne dois pas laisser la peur me dominer ! Je dois prendre les devants et m’armer des promesses de Dieu. Il me faut affronter mes peurs comme David a affronté Goliath, sachant qu’au nom du Seigneur, je vais triompher !