Parole du Jour

Les joies du ciel (1)

Un pas­teur demande un jour à son assem­blée : « Com­bi­en d’en­tre vous veu­lent aller au ciel ? » Tous lèvent la main, sauf un petit garçon. Le pas­teur lui dit : « Mon petit, ne veux-tu pas aller au ciel ? » Et l’enfant répond : « Si, mais pas main­tenant ! » Soyons hon­nêtes. On ne pense pas vrai­ment au par­adis jusqu’à ce qu’un être cher nous quitte et s’y rende, ou jusqu’à ce qu’on vieil­lisse et qu’on pense avoir rem­pli notre mis­sion ici-bas. On se sent alors porté vers le ciel. Et c’est une excel­lente chose. En moyenne, on passera env­i­ron soix­ante-dix ou qua­tre-vingts ans sur terre, con­tre une éter­nité au ciel. Paul dit : « Nous serons tou­jours avec le Seigneur » (1Th 4.17). Ici, notre bul­letin de notes est moyen : par­fois, on s’en sort bien ; d’autres fois, moins bien. Mais au par­adis, on sera exacte­ment comme Jésus, car il est dit : « Notre cité est dans les cieux ; de là nous atten­dons le Seigneur, qui trans­formera notre corps humil­ié, en le ren­dant sem­blable à son corps glo­rieux » (Ph 3.20–21). C. S. Lewis écrit qu’au par­adis, cha­cun d’en­tre nous sera « une créa­ture éblouis­sante, radieuse, immortelle, pal­pi­tant d’une énergie, d’une joie, d’une sagesse et d’un amour qu’on ne peut imag­in­er main­tenant. » Tous les patri­arch­es, prophètes et prédi­ca­teurs de la Bible ont désiré le ciel. Zacharie décrit les citoyens célestes comme « les pier­res d’un diadème, scin­til­lantes sur son sol » (Za 9.16–17). Si vous deviez mourir aujour­d’hui, iriez-vous au ciel ? Vous le pou­vez dès main­tenant, en met­tant votre con­fi­ance en Jésus.

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