Un vieux chien l’air fatigué pénètre dans le jardin d’une dame. Apparemment l’animal est bien nourri. Il suit la femme à l’intérieur dans le couloir, et s’y endort aussitôt. Deux heures plus tard, elle lui ouvre la porte et il s’en va. Le lendemain, le chien revient dormir ses deux petites heures. Le manège dure une semaine. Curieuse, la femme épingle ce mot sur son collier : « Chaque après-midi, votre chien vient faire une sieste chez moi. » Le lendemain, le chien se présente avec une note disant : « Il vit à la maison avec dix enfants. On dirait qu’il a besoin d’un moment de calme. Puis-je venir avec lui demain ? » Seule une mère peut comprendre ! Carla Barnhill, auteure de l’ouvrage Le Mythe de la mère parfaite, écrit : « J’en ai assez de vouloir être une super maman. Dès le départ, je n’étais pas très douée dans ce domaine. J’ai tenté d’être la combinaison parfaite entre une mère dévouée, une épouse aimante, une chrétienne solide et j’ai lamentablement échoué. Mais même si j’avais été capable de réussir tout ça, je ne suis pas convaincue qu’il faille le faire. Je n’ai pas besoin d’impressionner, de suivre des règles aléatoires d’un prétendu modèle de maternité. La grâce signifie que l’on peut compter avant tout sur un Dieu bon et affectueux ! Alors laissons tomber nos capes, déposons nos auréoles, retirons nos médailles et laissons-nous être les mamans parfois imparfaites, parfois géniales, que Dieu nous permet d’être. En d’autres termes : n’ayons pas de prétentions excessives.