L’intégrité (2)

Voici la recette d’un suc­cès durable. 1) L’in­for­ma­tion. Moins on s’informe, plus on est dépassé. 2) L’in­tu­ition. C’est « le savoir au-delà de la con­nais­sance ». 3) L’ini­tia­tive. C’est la capac­ité de faire un pas de foi et agir en fonc­tion de ce que l’on soupçonne. 4) L’in­ten­tion. C’est la volon­té de se fix­er des objec­tifs spé­ci­fiques et des délais pour les attein­dre. 5) Le zèle. Il néces­site plus qu’un élan : de l’endurance. 6) L’in­tégrité. C’est le ciment des cinq élé­ments préc­ités. Elle s’enracine dans l’intimité que l’on développe avec Dieu. On entend sou­vent des archi­tectes, des ingénieurs et des entre­pre­neurs par­ler de « l’intégrité struc­turelle » d’un bâti­ment. Ils veu­lent dire que la beauté vis­i­ble d’un grat­te-ciel repose sur ses fon­da­tions invis­i­bles, solides et pro­fondé­ment creusées dans la terre. Ce qui est caché con­fère à l’immeuble son intégrité struc­turelle. De même, ce sont les racines cachées d’un arbre, vaste sys­tème souter­rain, qui pro­duisent par­fois des fruits savoureux. On est logé à la même enseigne ! L’in­tégrité doit être enrac­inée dans son for intérieur. Pas la peine d’attendre d’être exposé au regard des autres pour faire preuve de droi­ture. Trop tard ! Le tal­ent peut apporter le suc­cès, mais il faut du car­ac­tère pour en pren­dre soin et le faire dur­er. En clair, l’intégrité qui nous habite se reflète à la mai­son, au tra­vail et en public.