Parole du Jour 
Taisez-vous
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"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Le com­mérage con­siste à par­ler de choses qui ne nous regar­dent pas. Jon Zens con­state : « J’ai vu des proches souf­frir à cause de ragots répan­dus sans l’accord de la per­son­ne con­cernée. Il peut y avoir du vrai ou du faux dans ces com­mérages. Ils sont par­fois motivés par de bonnes inten­tions, mais ren­fer­ment tou­jours des infor­ma­tions néga­tives qui faussent la per­cep­tion que l’on a de quelqu’un. La per­son­ne dén­i­grée n’est pas au courant car les médis­ants évi­tent générale­ment de s’adress­er directe­ment à elle. » Un respon­s­able chré­tien remar­que : « L’armée des chré­tiens est la seule armée qui tire sur ses blessés. » Alors, décidez d’évaluer les autres sur la base de votre expéri­ence avec eux, non sur des racon­tars. Les infor­ma­tions de sec­onde main sont sou­vent peu fiables et trompeuses et vio­lent le com­man­de­ment du Christ de traiter les autres comme on voudrait être traité (voir Mt 7.12). Si on a été blessé par des ragots, on com­prend la sagesse de ces mots. Les rumeurs et les insin­u­a­tions peu­vent sem­bler inno­centes et anodines. Même si quelqu’un agit sans mal­ice, elles ne sont pas accept­a­bles. Répan­dre des ragots, c’est marcher dans l’amour à con­tre-sens, cet amour qui recherche le meilleur chez les autres (voir 1Co 13.7). Toz­er a dit : « Ne répétez rien qui puisse bless­er. “L’amour cou­vre une mul­ti­tude de péchés” (1P 4.8) et le médis­ant n’a pas la faveur de Dieu. Si vous savez quelque chose qui pour­rait bless­er un enfant de Dieu, met­tez-le en terre et dites : “Ici repose en paix l’histoire de mon frère.” Dieu va s’en charger. »

"En lisant les textes de Parole du Jour, mon comportement a commencé à changer positivement, je suis devenue plus tolérante." Hélène Je fais un don