Le mot vacances vient d’un ancien mot anglais qui signifie « jour saint ». Aussi, lorsque Néhémie annonce : « Ce jour est consacré à l’Éternel », il déclare une célébration, un temps pour « manger et boire devant le Seigneur » (1Ch 29.22). Aujourd’hui, les chrétiens hésitent à fêter Noël, devenu synonyme d’excès en tous genres. Jack Hayford écrit : « Souvent, ce sont les nouveaux venus dans nos communautés, qui osent, peut-être pour la première fois, entrer dans l’émerveillement et la joie de Noël. Cette fête est non seulement joyeuse, mais puissante. La fête, l’affection, les rires, les cadeaux, les arbres, les guirlandes, les chants de Noël et les cloches, tout ceci a une force naturelle en soi. Mais c’est la présence du Saint-Esprit qui change tout. Quand il est là, les traditions de Noël peuvent bénir, renforcer, guérir et restaurer. Quand il est absent, les cantiques sonnent creux, les souhaits et les sourires sont superficiels, et malgré les lumières et les décorations, le cœur est plus triste que jamais. Grâce au Saint-Esprit, on abandonne les habitudes tenaces, les cœurs glacés se réchauffent, les rancunes et les attentes disparaissent, des vies s’illuminent. Ce Noël, laissez agir le Saint-Esprit en vous, accueillez-le, puis allez de l’avant pour profiter de la fête. Tendez la main à vos proches : encouragez, bénissez, cuisinez, offrez, visitez, invitez, partagez et réjouissez les cœurs. D’ici Nouvel An, vous verrez que Noël a été merveilleux, miraculeux et puissant. »