La confiance dans le retour prochain du Christ, la certitude de la victoire finale, voilà des soutiens précieux quand les dirigeants politiques déçoivent, quand les finances vont mal et que les guerres font des ravages partout dans le monde. Ne laissons pas les médias jouer sur nos peurs pour faire de l’audience. Jésus a dit : « Veillez donc, puisque vous ne savez pas quel jour votre Seigneur viendra » (Mt 24.42). En d’autres termes : soyez vigilant(e), mais n’ayez pas peur. L’amiral James Stockdale a passé huit années terribles dans un camp de prisonniers de guerre au Vietnam. Qu’est-ce qui l’a soutenu ? Il a dit : « Je n’ai jamais douté du dénouement. Je n’ai jamais douté, non seulement que je m’en sortirais, mais aussi que je finirais par l’emporter et que cette expérience deviendrait l’événement déterminant de ma vie. Avec le recul, je ne l’échangerais pour rien au monde. » À la question : « Quels sont ceux qui n’ont pas réussi à s’en sortir ? », Stockdale a répondu : « Oh, c’est simple, tous ceux qui ont dit : “On sera dehors à Noël”. Plus tard, ils ont affirmé : “On sera dehors à Pâques”. Puis : “On sera dehors à Thanksgiving”, et puis à nouveau pour Noël, le tout pour autant de déceptions. Ils ont fini par mourir, le cœur brisé. » Le courage nécessaire pour tenir dans la durée dans des situations extrêmes jusqu’au triomphe ultime se trouve dans ces paroles des Écritures : « Regardons toujours Jésus. C’est lui qui fait naître la foi et qui la rend parfaite » (Hé 12.2, PDV).
Un espoir récompensé
