"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Dans un monde qui ne con­trôle plus rien, nous voulons un dieu que nous pou­vons con­trôler, une présence récon­for­t­ante qui bénit, pour­voit et con­seille, un Dieu dans une boîte. Mais lorsqu’il s’agit de Christ, il n’y a plus de boîte ! Ses con­tem­po­rains avaient bien fab­riqué quelques boîtes pour le con­tenir, mais elles étaient toutes trop petites ! Ils l’ont qual­i­fié de révo­lu­tion­naire, mais il payait ses impôts. Il était char­p­en­tier, mais il con­fondait les éru­dits. Il fai­sait des mir­a­cles, mais refu­sait de devenir un faiseur de mir­a­cles. C’était un juif, mais appré­cié des païens, un rab­bi qui délais­sait les syn­a­gogues et un saint homme qui par­lait aux pros­ti­tuées. Dans un monde machiste, il s’entourait de femmes. Dans un pays opposé à Rome, il refu­sait de dénon­cer le pou­voir romain. Il par­lait comme un roi et vivait comme un nomade. Les gens ont essayé de l’enfermer dans une boîte sans jamais y par­venir. Nous n’y parvien­drons pas davan­tage et ne devons même pas essay­er ! « Le début de la sagesse, c’est la crainte de l’Éter­nel ; et la con­nais­sance des saints, c’est l’in­tel­li­gence » (Pr 9.10). La plu­part de nos craintes sont destruc­tri­ces car elles nous privent de paix et de joie, mais la crainte de Dieu est béné­fique. Un auteur a écrit : « Il n’y a aucune névrose dans la crainte de Dieu, la névrose serait de ne pas le crain­dre ou d’avoir peur pour de mau­vais­es raisons. C’est pourquoi Dieu a choisi de se révéler à nous de sorte que nous n’ayons plus peur pour de fauss­es raisons. Lorsque Dieu se révèle pour être con­nu de nous, notre peur change. La crainte de Dieu est la recon­nais­sance légitime que nous ne sommes pas Dieu ».

"Merci pour Parole du Jour, toujours aussi parlante à mon cœur. Elle me fait grandir et me remplit de joie dans ce monde chaotique." Monique Je fais un don