Votre agenda fait-il une place à l’imprévu ? Un auteur écrit : « Jésus s’arrêtait quand on avait besoin de lui. Il montrait ainsi l’amour de Dieu. Malheur à ceux qui sont tellement occupés à sauver le monde qu’ils ignorent les besoins des gens. Comme le Bon Samaritain, nous devrions être prêts à nous arrêter pour celui qui souffre. « Si quelqu’un possède les biens du monde, qu’il voie son frère dans le besoin et qu’il lui ferme son cœur, comment l’amour de Dieu demeurera-t-il en lui ?» (1Jn 3.17). Quand Jésus agissait par amour, les gens reconnaissaient que Dieu était à l’œuvre parmi eux (voir Lu 7.16). » Swindoll écrit : « Celui qui dit : “Arrêtez, et reconnaissez que je suis Dieu” (Ps 46.10) souffre quand il voit notre agitation frénétique et insatiable. Au lieu d’un esprit calme et pondéré, nous lui offrons un beau mélange d’activisme et d’impatience. Mais on peut changer. Il suffit d’avouer son hyperactivité et agir en conséquence. Maintenant ! Je l’ai fait récemment dans ma famille et notre horizon s’est éclairci. Stop ! Renoncez à toute activité superflue. L’horloge tourne. Votre santé peut être fragile. Vous n’êtes pas irremplaçable. Soyez prudent(e). Il est facile de n’être qu’un feu de paille. Paul dit aux Galates : “Vous couriez bien : qui vous a arrêtés, en vous empêchant d’obéir à la vérité ? Cette suggestion ne vient pas de celui qui vous appelle” (Ga 5.7–8). Partagez-le. Une fois que vous en aurez tiré les bénéfices, dites-le aux hyperactifs. Ils aimeraient bien s’arrêter à condition de savoir comment. »