La Bible dit : « Un jour de sab­bat, Jésus enseignait dans une syn­a­gogue. Une femme malade se trou­vait là : depuis dix-huit ans, un esprit mau­vais la tenait cour­bée et elle était totale­ment inca­pable de se redress­er. Quand Jésus vit cette femme, il l’ap­pela et lui dit : “Tu es délivrée de ta mal­adie.” Il posa les mains sur elle et, aus­sitôt, elle se redres­sa et se mit à louer Dieu. Mais le chef de la syn­a­gogue était indigné de ce que Jésus avait accom­pli une guéri­son le jour du sab­bat » (Lu 13.10–14, BFC). Remar­quez que : 1) Son prob­lème durait et était vis­i­ble de tous. Mais bien des gens ont des luttes intérieures, des com­bats anciens, des douleurs si pro­fondes qu’elles refont régulière­ment sur­face. Ces gens-là ont besoin d’attention et de sym­pa­thie. 2) Mal­gré tous ses efforts, elle ne pou­vait se redress­er. Seul Jésus pou­vait soulever son fardeau. S’il ne l’avait pas fait, jamais elle n’aurait été libre. Faites-vous la rela­tion ? Soignez-vous vos mal­heurs par un tra­vail inlass­able, de mau­vais­es fréquen­ta­tions, ou des sub­stances psy­chotropes ? Vous êtes-vous telle­ment habitué à votre prob­lème que, le jour où la chance d’en être débar­rassé se présente, vous ne la sai­sis­sez pas ? Est-ce devenu votre mas­cotte ? Jésus vous délivr­era si vous venez vers lui ! 3) Elle avait besoin du con­tact physique avec Jésus. Le tem­ple qu’elle fréquen­tait ne pou­vait la sec­ourir. D’ailleurs, son prêtre a con­damné cette guéri­son le jour du Sab­bat. Au dia­ble les reli­gions impuis­santes, sans solu­tions ! Aujourd’hui, venez à Jésus, qui nous guérit par ses meur­tris­sures, au dedans comme au dehors.