Le doigt de Dieu est dans la pierre. Pourquoi croyez-vous que Dieu a gravé les dix com­man­de­ments dans la pierre ? Parce que ses lois ne changent pas. Vous dites : « Mais com­ment va-t-il juger tous ces gens qui n’ont jamais enten­du la Parole de Dieu ? » Paul répond : « Quand des étrangers, qui ne con­nais­sent pas la loi de Dieu, la met­tent d’eux-mêmes en pra­tique, c’est comme s’ils la por­taient au-dedans d’eux, bien qu’ils ne l’aient pas. Ils prou­vent ain­si que la pra­tique ordon­née par la loi est inscrite dans leur cœur. Leur con­science en témoigne égale­ment, ain­si que leurs pen­sées qui par­fois les accusent et par­fois les défend­ent » (Ro 2.14–15, BFC). Votre con­science agit comme une bous­sole. Suiv­ez-la et elle vous met­tra sur la bonne voie. Mais si vous ignorez ses aver­tisse­ments, sa voix devien­dra de plus en plus faible, jusqu’à ne plus être audi­ble. Le dan­ger est grand. Paul écrit : « Garde la foi et une bonne con­science. Quelques-uns ont refusé d’é­couter leur con­science et ont causé ain­si le naufrage de leur foi » (1Ti 1.19, BFC). Imag­inez-vous sur un pont au-dessus d’un étang. Vous jetez un galet dans l’eau et des ondes se propa­gent à la sur­face. Regardez l’effet pro­duit par ce tout petit galet ! En revanche, lorsqu’en hiv­er, le même étang est gelé, vous pou­vez le tra­vers­er en camion sans que rien ne bouge. Votre con­science est comme cet étang. Si vous con­tin­uez à désobéir à Dieu, votre cœur s’endurcit, et vous ne l’entendez plus vous par­ler. Paul écrit : « Je m’ex­erce à avoir con­stam­ment une con­science irréprochable devant Dieu et devant les hommes » (Ac 24.16). Voilà un bon con­seil à suivre !