Dans la série télévisée L’homme qui valait trois milliards, le héros était équipé de prothèses bioniques. Pas moi ! Je suis unique en mon genre, une véritable merveille du génie créateur de Dieu. Par exemple, ma langue possède 400 petites papilles gustatives, chacune capable de discerner la différence entre une asperge et une tarte au citron. Mon système digestif comprend 20 millions de petites bouches capables de digérer presque tout. Et puis, il y a mon système de régulation thermique. Il possède 150 000 glandes sudoripares par centimètre carré. Et mon système sensoriel ? Un réseau de 10 millions de nerfs, qui envoient et interprètent des messages et formulent une réponse à chacun d’eux. Je suis un humain parmi 7 milliards ! Personne d’autre ne possède ma voix, mes empreintes digitales ou mon ADN. Lorsque je suis né(e), Dieu n’a pas dit : « Que vais-je bien pouvoir en faire ? » Non, il m’a donné le nom de mon père (voir Esa 43.1). J’ai été racheté à grand prix (voir 1Co 6.20). Je suis devenu(e) un membre de sa famille rachetée (voir 1Jn 3.2). C’est lui qui dirige mes pas (voir Ps 37.23). Il a déjà planifié mon succès (voir Jér 29.11). Il m’a aimé(e) alors que je n’étais pas aimable et m’a choisi(e) avant que j’aie pu faire le bien ou le mal. Il peut donc me dire : « Je veux ta louange et ton obéissance, que tu passes du temps avec moi, que tu lises les lettres que je t’ai écrites, je ne veux pas que quelque chose se mette entre nous. » Voici votre parole du jour : vous appartenez à Dieu !