La Bible dit : « N’ou­bliez pas de faire le bien et de vous entraider frater­nelle­ment » (Hé 13.16). « Si quelqu’un sait faire le bien et ne le fait pas, il com­met un péché » (Ja 4.17). « Ceux qui ont cru en Dieu s’ap­pliquent à exceller dans les œuvres bonnes. Voilà qui est beau et utile aux hommes ! » (Tit 3.8) S’adres­sant aux diplômés de l’u­ni­ver­sité de Vil­lano­va, la jour­nal­iste Anna Quindlen a déclaré : « Ne con­fondez pas votre vie avec votre tra­vail. Ce que vous êtes sera tou­jours plus impor­tant que ce que vous faites. Avec le même diplôme que le vôtre, beau­coup fer­ont la même car­rière que celle que vous désirez, voire une meilleure. Mais vous êtes le seul respon­s­able, non seule­ment de votre vie mais de votre esprit et de votre cœur. Il est plus facile de rédi­ger un cur­ricu­lum vitae que de se forg­er une per­son­nal­ité. Un cur­ricu­lum vitae n’est qu’une mai­gre con­so­la­tion quand on est seul ou triste, sans ressources ou devant les mau­vais résul­tats d’un exa­m­en médi­cal. Je ne me con­sid­ère plus comme le cen­tre de l’u­nivers. Je m’in­vestis. Je suis à l’é­coute. J’es­saie de rire. Je fais en sorte que mes vœux de mariage aient un sens. Je prie. Je gâte mes amis car sans eux, je ne suis qu’une coquille vide. Que votre vie ne con­siste pas à décrocher une pro­mo­tion ou un meilleur salaire ou une plus grande mai­son. Seriez-vous tou­jours préoc­cupé par tout ça si vous faisiez un anévrisme ou aviez une tumeur au sein ? Que votre vie soit rem­plie d’actes de générosité envers les autres. Nous voulons tous réus­sir mais si nous ne faisons pas le bien, la réus­site ne suf­fi­ra jamais ».