Voici encore deux autres preuves de la résurrection du Christ. 1) Personne au monde ne renoncerait volontairement à la vie pour ce qu’il sait être un mensonge. Un auteur déclare : « Un homme accepterait peut-être de mourir pour ce qu’il croit être vrai, même si en réalité, c’est faux. Mais il refuserait de mourir pour ce qu’il sait être un mensonge. » Le fait que les premiers disciples aient été prêts à endurer de telles souffrances rend les fondements du christianisme indiscutables. 2) Les ennemis du Christ se sont donné beaucoup de mal pour réfuter la résurrection. Les grands prêtres, après s’être réunis avec les anciens et avoir fomenté un plan, donnent aux soldats une forte somme d’argent et leur disent : « Vous déclarerez que les disciples de cet homme sont venus voler son corps durant la nuit, pendant que vous dormiez. Et si le gouverneur l’apprend, nous saurons le convaincre et vous éviter toute difficulté. Les gardes prirent l’argent et agirent conformément aux instructions reçues » (v.12–15). On n’appelle personne à témoigner de ce qui s’est passé pendant son sommeil. Pour un soldat romain, s’endormir pendant son service signifiait la condamnation à mort. Si Jésus était encore dans le tombeau, ou si son corps avait été déplacé, pourquoi les chefs juifs n’en ont-ils pas parlé ? Mais ils sont paralysés et désemparés. Leur seule option possible a été de lancer une grande persécution contre les chrétiens. Mais elle a échoué à l’époque, et elle échoue encore aujourd’hui parce que Jésus est vivant !