La pre­mière chose que vous notez chez ceux qui souf­frent, c’est leurs prob­lèmes. Mais si vous regardez au-delà, Dieu vous aidera à voir leur poten­tiel. À chaque occa­sion, les foules du Ken­tucky entonne le même chant à la gloire de leur patrie. Mais peu de gens savent que l’au­teur en est Stephen Fos­ter, qui est sup­posé avoir été vic­time de l’al­coolisme. La police l’a retrou­vé dans un asile de New York, avec une pro­fonde entaille à la gorge. Ils l’ont trans­porté d’ur­gence à l’hôpi­tal mais il était trop tard pour le sauver. Ils ont trou­vé au milieu de ses affaires un petit mot qui ressem­blait au début d’un poème, mais il est mort sans avoir pu l’achev­er. Jésus « est venu chercher et sauver ce qui était per­du ». Il y a des gens autour de nous qui aujour­d’hui ont per­du leur chemin, leur famille, leur tra­vail, leur san­té et leur espérance, des gens que Jésus est venu sauver ! C’est là que vous inter­venez. Vous êtes appelé(e) à devenir le pro­longe­ment de sa main. Eliz­a­beth Holt Hart­ford a vécu jusqu’à sa mort dans un quarti­er pau­vre de Los Ange­les. Elle aurait pronon­cé ses dernières paroles : « Vous me voyez comme une vieille dame brisée par les ans. Mais ce que vous ne com­prenez pas, c’est que mon moi est à l’in­térieur. Je suis pris­on­nière d’un corps qui ne me sert plus à rien. Il est frois­sé, malade et me fait souf­frir. Mais je n’ai pas changé. Je suis tou­jours la même que dans ma jeunesse ». Aujour­d’hui, deman­dez à Dieu de faire deux choses pour vous : 1) ouvrir vos yeux aux besoins qui vous entourent, 2) activ­er votre cœur pour les affronter.