La convoitise

La con­voitise vous privera tou­jours du con­tente­ment. Vous feuil­letez un mag­a­zine de déco­ra­tion, et soudain, la mai­son qui vous con­ve­nait jusque-là vous sem­ble soudain ringarde ! Vous voyez une pub­lic­ité pour une voiture, et la vôtre n’est soudain plus qu’un vieux tacot. Dieu souhaite que vous ayez des objec­tifs et que vous sub­ve­niez aux besoins de votre famille, mais prenez garde à ne pas con­voiter les choses jusqu’à l’obsession. Lorsqu’Is­raël est entré en guerre con­tre Jéri­cho, Dieu a don­né l’ordre de détru­ire tout ce qui s’y trou­vait. Par la suite, lorsque le peu­ple a pris d’as­saut la petite ville d’Aï et a essuyé une défaite cuisante, Josué était abat­tu. Dieu lui a expliqué que c’était à cause du péché dans leur pro­pre camp. Acan, l’un des sol­dats, avoue : « J’ai vu dans le butin un man­teau et de l’argent ; j’en ai eu envie et je les ai pris » (Jos 7.21). Acan a men­ti et a caché les biens sous sa tente, et ça lui a coûté la vie ain­si qu’aux siens ! Con­voiter, c’est met­tre en doute la sagesse, la volon­té et la capac­ité de Dieu à pour­voir à vos besoins. Lorsque vous désirez une chose, priez à ce sujet et faites con­fi­ance à Dieu pour qu’il vous l’accorde, si c’est sa volon­té. Sa Parole nous l’assure : « Il ne refuse pas le bon­heur à ceux qui marchent dans l’in­tégrité. » Peu importe vos sup­pli­ca­tions, Dieu sait ce qui est bon pour vous. Lorsque vous désirez faire sa volon­té, il promet : « Vous aurez encore en abon­dance pour toute œuvre bonne » (2Co 9.8).