Pour rem­porter le prix, il faut avoir un objec­tif pré­cis. Tous ceux qui réus­sis­sent ne per­dent jamais de vue leur objec­tif, ils sont déter­minés, même s’ils sont par­fois pris pour des fana­tiques. Ils lais­sent le super­flu et restent fixés sur le but, alors qu’autour d’eux, d’autres passent leur temps à dis­cuter de pro­jets jamais réal­isés. L’appel que Paul avait reçu était devenu la pas­sion de sa vie : « Mais je fais une chose : oubliant ce qui est en arrière et ten­dant vers ce qui est en avant, je cours vers le but pour obtenir le prix de la voca­tion céleste de Dieu ». Sa mis­sion acca­parait ses pen­sées, le reste pas­sait au sec­ond plan. Il ne lais­sait rien le dis­traire. Il a écrit : « Com­bats le bon com­bat de la foi » (1Ti 6.12). Il savait que la foi ne suff­i­sait pas, mais qu’il fal­lait de sur­croît être un bon com­bat­tant. Par­fois, la peur, les cri­tiques, nos échecs déci­dent de la direc­tion que nous prenons et nous ne savons plus où nous allons. Notre avenir est com­pro­mis et finit par ressem­bler à notre passé. Nous mar­chons au jour le jour, espérant que la vie nous souri­ra, mais rien ne se passe ! Pour rem­porter le prix, il faut : 1) Un objec­tif. L’objectif ne vient pas tout seul, il faut le fix­er. 2) Un objec­tif unique. « Je fais une chose ». 3) Oubli­er les échecs passés. « Oubliant ce qui est en arrière ». 4) Anticiper le suc­cès. « Ten­dant vers ce qui est en avant ». 5) Une résis­tance à toute épreuve. « Je cours vers le but ». Si vous passez ces étapes, vous rem­porterez le prix de la voca­tion céleste.