Le deuxième droit de Dieu sur votre vie est celui du calvaire. Deux amis étaient ensemble étudiants en droit. L’un est devenu juge, l’autre délinquant et a fini devant les tribunaux. Devinez qui était assis à la place du juge ? Son ami. Comment ce juge pouvait-il être clément tout en restant juste ? Après avoir ôté sa robe de magistrat, il est allé rejoindre l’accusé à la barre et a dit : « Je suis non seulement l’ami de cet homme, mais aujourd’hui, je suis aussi son libérateur. Je prends sur moi toutes ses dettes ». À la croix, Dieu a pris nos péchés et les a mis sur le compte de Christ, puis il a pris la justice de Christ et l’a mise sur notre compte. Lorsque vous regardez à Christ comme votre Sauveur, vous n’êtes plus condamné à mort. La valeur d’une chose dépend de ce que nous sommes prêts à payer pour elle. Au calvaire, Dieu a montré à quel point il nous aime ! Notre Créateur est devenu notre Sauveur. Le Créateur de l’univers s’est incarné et est devenu malédiction. Il a totalement payé tout ce qu’exigeait sa loi. Dieu a toujours utilisé un homme pour accomplir ses plans sur terre. Il a choisi Moïse pour libérer les Israélites en Égypte, Élie pour défier les prophètes de Baal. Mais pour notre salut : « [Dieu] a vu que personne ne réagissait, il a été surpris que personne ne fasse quelque chose. Alors il a décidé d’agir lui-même » (Esa 59.16, PDV). La bonne nouvelle, c’est que Dieu n’ayant trouvé aucun homme, il est lui-même venu comme un homme, afin que les fils de l’homme deviennent les fils de Dieu. C’est sublime !