"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

Aujour­d’hui, il est sou­vent ques­tion de gér­er son temps, son argent, et son poids, mais qu’en est-il de ses pen­sées ? Ne devri­ons-nous pas pren­dre soin de gér­er nos pen­sées plus que toute autre chose ? Jésus le fai­sait en préser­vant son cœur con­tre : 1) les avances de ceux qui voulaient l’u­tilis­er à leurs pro­pres fins. « Jésus, sachant qu’ils allaient venir l’en­lever pour le faire roi, se reti­ra de nou­veau sur la mon­tagne, lui seul » (Jn 6.15). Nous seri­ons nom­breux à appréci­er l’idée de devenir « roi ». Même si nous refu­sions la couronne, nous seri­ons flat­tés ! Pas Jésus. 2) la naïveté de ceux qui voulaient l’é­pargn­er. Lorsque Jésus a prédit à ses dis­ci­ples sa mort sur la croix, Pierre s’est révolté. Son inca­pac­ité à saisir la néces­sité de la cru­ci­fix­ion a provo­qué l’une des plus cinglantes répar­ties de Jésus : « Arrière de moi, Satan ! Tu es pour moi un scan­dale, car tes pen­sées ne sont pas celles de Dieu » (Mt 16.23). 3) le mépris de ceux qui ne le con­nais­saient pas ou ne croy­aient pas en lui. Avant de ramen­er une jeune fille à la vie, Jésus avait dit aux gens de la mai­son : « Elle n’est pas morte, mais elle dort » (Lu 8.52). Et pour toute réponse, ils se sont moqués de lui. Comme cha­cun de nous, Jésus a dû affron­ter le mépris. Mais con­traire­ment à beau­coup, il a refusé de l’ac­cepter. Notez sa réac­tion : « Il les fit tous sor­tir » (Mr 5.40). Ni doute, ni cri­tique, ni mépris n’avaient de place dans la mai­son de la jeune fille ou dans la pen­sée du Christ. Et dans votre pensée ?

"Je suis très reconnaissante pour la radio PHARE FM et le fascicule Parole du Jour. Je vous écoute tous les jours. Combien de fois Dieu m’a parlé au travers des écrits et de messages à la radio. Merci !" Christelle Je fais un don