La vie réserve de bonnes et de mau­vais­es sur­pris­es. Vous passez un été sur la plage, l’été suiv­ant, la plage est envahie par le pét­role. Pen­dant un mois, vos actions s’en­v­o­lent et vos investisse­ments prospèrent, puis soudain tout s’écroule. Et les « cerveaux » cen­sés faire marcher le sys­tème se réu­nis­sent en con­férence pour dire : « C’é­tait imprévis­i­ble ». Lors de ces rares péri­odes où vous pensez que le monde a som­bré, regardez autour de vous ! Une tumeur maligne appa­raît dans un poumon, un oura­gan rase une mai­son du voisi­nage. Qu’allez-vous faire alors ? Quand Jésus a par­lé à ses dis­ci­ples de son proche départ, ils se sont mis en mode panique, alors il leur a dit : « Le Saint-Esprit que le Père enver­ra en mon nom, c’est lui qui vous enseign­era toutes choses et vous rap­pellera tout ce que moi je vous ai dit. Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Moi, je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trou­ble pas et ne s’alarme pas » (v.26–27). Vous avez besoin de recon­naître la présence du Saint Esprit qui vit en vous, et de con­stru­ire une rela­tion avec lui. Il n’est pas une « chose » indéfiniss­able ou un esprit vaporeux impal­pa­ble. Il est la représen­ta­tion du Christ. Il est déter­miné à vous appren­dre ce que vous ignorez, et à vous rap­pel­er les choses que vous oubliez si facile­ment. Et le meilleur de tout, il vous don­nera sa paix, en dépit de toutes les sur­pris­es que la vie vous réserve.