Si vous pensez qu’il n’est pas dra­ma­tique de se plain­dre, lisez ceci : « Le peu­ple mur­mu­ra […]. Lorsque l’Éternel l’entendit, sa colère s’enflamma ; le feu de l’Éter­nel s’al­luma par­mi eux et dévo­ra l’ex­trémité du camp ». Un homme a dit : « Je me plaig­nais de man­quer de chaus­sures jusqu’au jour où j’ai ren­con­tré un homme amputé des deux pieds ». Dieu vous a béni de bien des façons. Il ne veut pas vous enten­dre râler. De quoi les Israélites se plaig­naient-ils ? De l’adversité. Celle-ci peut revêtir dif­férentes formes : mal­adie, pré­car­ité, car­rière en déclin ou sit­u­a­tion de famille qui vous laisse seul respon­s­able. Cer­tains par­mi nous n’ont pas pris les bonnes déci­sions dans leur vie et ont vu leurs pro­jets s’écrouler. Résul­tat, nous devons vivre avec les con­séquences de nos choix et les prob­lèmes qui en découlent : mariages ratés, familles recom­posées. À des degrés divers, l’adversité est notre lot com­mun. Mais Dieu ne veut pas nous enten­dre nous plain­dre ! Com­prenez ceci : il est dif­fi­cile de faire face à l’adversité, mais en vous accrochant avec hargne à l’idéal d’une vie sans obsta­cles, vous vous privez de la grâce que Dieu vous accorde, celle qui vous per­me­t­trait de sur­mon­ter l’adversité et d’être vic­to­rieux. Changez de manière de penser. Age­nouillez-vous et priez : « Seigneur, je veux con­naître la joie que tu donnes à ceux qui quit­tent le désert de l’ingratitude pour entr­er dans la terre promise de la recon­nais­sance ». C’est une prière qui chang­era votre vie !