Certaines personnes ont besoin d’être « portées » à Jésus parce qu’elles ne peuvent le faire par elles-mêmes. Elles aussi sont paralysées. Par quoi ? Par une conduite incontrôlée, par le sentiment d’avoir trop de péchés pour que Dieu puisse les aimer et les racheter. Paralysées par des souvenirs d’enfance qu’elles ont peur de révéler. Paralysées par une addiction, drogue, jeux, sexe, alcool, travail ou argent. Une chose est sûre, quelle que soit l’addiction, elle est paralysante. La peur, l’anxiété, la dépression, la perte d’estime de soi, ou les cauchemars d’une enfance malheureuse, tout est sujet à vous paralyser. Et même si vous avez réussi dans la vie, vous pouvez être paralysé(e) par le succès, le matérialisme, la cupidité, le nombrilisme qui vous empêche de reconnaitre que vous avez un quelconque besoin de Dieu dans votre vie. Vous sentez-vous visé(e) ? Jésus a commencé son ministère avec ces mots : « L’Esprit du Seigneur est sur moi, il m’a consacré pour apporter la Bonne Nouvelle aux pauvres. Il m’a envoyé pour proclamer la délivrance aux prisonniers et le don de la vue aux aveugles, pour libérer les opprimés, pour annoncer l’année où le Seigneur manifestera sa faveur » (Lu 4.18–19, BFC). La voilà, la bonne nouvelle ! La vie n’a peut-être pas toujours été tendre avec vous, mais la grâce de Dieu et ses faveurs peuvent changer tout ça, dès aujourd’hui.