Un, soyez prêt(e) à pren­dre des risques. Oui, vous pren­drez sans doute des coups, et alors ? Pour gag­n­er con­fi­ance et assur­ance, vous devez vous accorder la lib­erté de saisir votre chance. Lisez ce livre, prenez ce cours de musique, lev­ez-vous et par­lez à cette réu­nion ! Mal­gré la peur, faites-le tout de même ! « La frayeur devant les hommes tend un piège, mais celui qui se con­fie en l’Éter­nel se trou­ve hors d’at­teinte » (Pr 29.25). Deux, ne vous prenez pas au sérieux. Lâchez votre besoin obses­sion­nel d’être approu­vé et recon­nu, et apprenez à vous moquer de vos erreurs. Nous sommes tous des humains. Arrêtez de vous pren­dre autant au sérieux ! Voyez d’abord le côté amu­sant de vos erreurs, les gens seront plus indul­gents que vous ne le pensez. Trois, devenez réal­iste. Tout ne tourne pas autour de vous. Vous n’êtes pas le cen­tre du monde, et vos petits déra­pages ne sont rien dans l’or­dre des choses. De plus, vous apprenez sou­vent davan­tage de vos erreurs que de vos suc­cès. Qua­tre, con­tentez-vous de petites vic­toires. Soyez satisfait(e) du moin­dre pro­jet accom­pli. Félicitez-vous d’ac­cepter sans réa­gir un avis ou une cor­rec­tion. Sou­vent ceux que nous fusti­geons sont ceux qui font le max­i­mum pour nous aider. Habituez-vous à l’idée que vous avez de la valeur, du tal­ent, des com­pé­tences, et qu’au regard de Dieu votre mérite est ines­timable. Ne vous détaillez plus à tra­vers un miroir défor­mant, ayez de vous une image nette. Quand vous en serez capa­ble, vos peurs se chang­eront en con­fi­ance, en vous et en votre avenir.