Paul avance cinq ques­tions essen­tielles : 1) « Si Dieu est pour nous, qui sera con­tre nous ? » La cer­ti­tude de la présence de Dieu fait pencher la bal­ance en votre faveur. Alors, quoi que vous affron­tiez aujour­d’hui, dites-vous : « Dieu est pour moi ». 2) « Lui qui n’a pas épargné son pro­pre Fils, mais qui l’a livré pour nous tous, com­ment ne nous don­nera-t-il pas aus­si tout avec lui, par grâce ? » (v.32). Réfléchissez, Dieu sauverait votre âme, puis vous lais­serait vous débrouiller tout(e) seul(e) ? Il étancherait votre soif d’é­ter­nité en nég­ligeant vos besoins ter­restres ? Non ! 3) « Qui accusera les élus de Dieu ? Dieu est celui qui jus­ti­fie ! » (v.33). Chaque voix qui vous accuse, y com­pris la vôtre, compte pour rien devant le tri­bunal céleste. Le bon vouloir de Dieu l’emporte sur toute objec­tion, et il vous accepte parce qu’il vous voit « en Christ ». 4) « Qui les con­damn­era ? Le Christ-Jésus est celui qui est mort ; bien plus, il est ressus­cité, il est à la droite de Dieu, et il inter­cède pour nous ! » (v.34). Si vos accusa­teurs se lèvent et par­lent con­tre vous, Jésus, votre avo­cat, les réduit au silence. Pourquoi ? Parce que son sang vous cou­vre ! 5) « Qui nous sépar­era de l’amour de Christ ? » (v.35). Paul répond : « Ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni les dom­i­na­tions, ni le présent, ni l’avenir, ni les puis­sances, ni les êtres d’en-haut, ni ceux d’en-bas, ni aucune autre créa­ture ne pour­ra nous sépar­er de l’amour de Dieu en Christ-Jésus notre Seigneur » (v.38–39). Avec ces cinq vérités, vous apprécierez davan­tage votre journée et dormirez mieux la nuit.