La Bible les expose claire­ment. « Il faut qu’un dirigeant d’Église soit irréprochable, mari d’une seule femme, sobre, raisonnable et con­ven­able, hos­pi­tal­ier, capa­ble d’en­seign­er ; qu’il ne soit ni buveur ni vio­lent, mais doux et paci­fique ; qu’il ne soit pas attaché à l’ar­gent ; qu’il soit capa­ble de bien diriger sa pro­pre famille et d’obtenir que ses enfants lui obéis­sent avec un entier respect. En effet, si quelqu’un ne sait pas diriger sa pro­pre famille, com­ment pour­rait-il pren­dre soin de l’Église de Dieu ? Il ne doit pas être récem­ment con­ver­ti ; sinon, il ris­querait de s’en­fler d’orgueil et de finir par être con­damné comme le dia­ble. Il faut aus­si qu’il mérite le respect des non-chré­tiens, afin qu’il ne soit pas méprisé et qu’il ne tombe pas dans les pièges du dia­ble. Les diacres aus­si doivent être respecta­bles et sincères ; ils ne doivent pas abuser du vin ni rechercher des gains mal­hon­nêtes ; qu’ils restent attachés à la vérité révélée de la foi chré­ti­enne, avec une con­science pure. Il faut d’abord qu’on les mette à l’épreuve ; ensuite, si on n’a rien à leur reprocher, ils pour­ront tra­vailler comme diacres. Leurs femmes aus­si doivent être respecta­bles et éviter les pro­pos malveil­lants ; qu’elles soient sobres et fidèles en tout. Il faut que le diacre soit le mari d’une seule femme et qu’il soit capa­ble de bien diriger ses enfants, toute sa famille. Les diacres qui s’ac­quit­tent bien de leur tâche sont hon­orés par tous et peu­vent par­ler avec une pleine assur­ance de la foi qui nous unit à Jésus-Christ » (1Ti 3.1–13, BFC).