Jon Gor­don racon­te : « Notre amie Rachel n’ar­rê­tait pas de se plain­dre de son tra­vail, de la con­jonc­ture, de ses ventes insuff­isantes… J’ai fini par l’in­ter­rompre et lui ai dit : “C’est sim­ple. Tu as le choix. Tu peux accepter la nou­velle poli­tique de l’en­tre­prise, aller au tra­vail avec une atti­tude pos­i­tive et te don­ner à fond, ou tu peux chercher un autre emploi. Mais quoi que tu fass­es, cesse de te plain­dre, ça ne sert à rien. Change de boulot ou change de com­porte­ment.” La con­ver­sa­tion était finie, et notre ami­tié aus­si, le pen­sai-je. Rachel ne m’a plus par­lé pen­dant quelques mois. Puis je l’ai revue dans une soirée et elle m’a avoué avoir décidé de suiv­re mes con­seils. Elle avait gardé son poste, cessé de se plain­dre, et com­mencé à ven­dre plus. Trois mois après avoir changé d’at­ti­tude son chiffre d’af­faires avait aug­men­té de 30%, un an plus tard de 70%… L’autre jour, trois ans après notre pre­mière con­ver­sa­tion, je croise à nou­veau Rachel et lui demande de ses nou­velles. Elle me racon­te que ces deux dernières années, ses ventes ont explosé. Suite à deux pro­mo­tions, elle occupe main­tenant le poste de ses rêves, et elle est plus excitée et pas­sion­née que jamais. Le mécon­tente­ment vous sabote-t-il, vous, votre équipe, ou les deux ? Il y a dix ans je vivais la même sit­u­a­tion. Mais j’ai appris que si vous cessez de vous lamenter et agis­sez de façon pos­i­tive, vous devenez gag­nant. » La Bible met les râleurs et les pécheurs dans le même sac. Les deux ne cherchent que leur pro­pre intérêt (voir v.15–16). Soyez plutôt rem­plis de foi, à remerci­er Dieu pour ses béné­dic­tions et lui faire con­fi­ance pour l’avenir.