Une femme, atteinte depuis douze ans de pertes de sang chroniques, s’est frayé un chemin à tra­vers la foule jusqu’à Jésus et a touché le bord de son vête­ment. Immé­di­ate­ment, elle a été guérie. « Et Jésus dit : Qui m’a touché ? Comme tous s’en défendaient, Pierre dit : Maître, la foule t’en­toure et te presse ! Mais Jésus répon­dit : Quelqu’un m’a touché, car je sais qu’une force est sor­tie de moi. La femme, se voy­ant décou­verte, vint toute trem­blante se jeter à ses pieds, et déclara devant tout le peu­ple pourquoi elle l’avait touché, et com­ment elle avait été guérie à l’in­stant. Jésus lui dit : Ma fille, ta foi t’a sauvée ; va en paix » (v.45–48). Nous voyons là agir un esprit sans dis­cerne­ment. Écoutez les paroles de Pierre : « Maître, la foule t’en­toure et te presse ! » Com­prenez ceci : Jésus con­naît la dif­férence entre le touch­er inspiré par la foi et les con­tacts anonymes de la foule. La foi s’appuie sur la puis­sance de Jésus et cela fonc­tionne ! Notez que cette femme a touché le bord du vête­ment de Jésus. Le dernier geste d’une cou­turière sur un vête­ment est de coudre l’ourlet, signe que le tra­vail est achevé. Le dos qui a porté la croix pour ôter nos péchés est le même qui a porté nos meur­tris­sures pour ôter nos mal­adies : « Par ses meur­tris­sures nous sommes guéris » (Esa 53.5). Quel est votre besoin aujourd’hui ? Le par­don de vos péchés ? La guéri­son ? Entrez en con­tact par la foi avec Jésus, et il vous délivrera.