"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Il est impor­tant de savoir quand vous êtes attaqué et quand vous ne l’êtes pas. Un auteur a écrit : « Cer­tains chré­tiens ont ten­dance à con­sid­ér­er toute dif­fi­culté comme une attaque de l’ennemi, plutôt que de recon­naître qu’ils récoltent ce qu’ils ont semé. Si vous nég­ligez votre rôle de guide spir­ituel pour vos enfants, Dieu peut les laiss­er s’égarer. Si vous avez man­qué d’hon­nêteté, il peut vous en faire subir les con­séquences. “Le Seigneur cor­rige celui qu’il aime”. Il serait insen­sé de deman­der à Dieu de vous épargn­er des prob­lèmes s’il est en train de vous cor­riger pour éveiller votre con­science. Le plus trag­ique est de ne pas com­pren­dre le lien entre les deux. La dis­ci­pline divine n’aura pas d’effet sur vous si vous la prenez pour une attaque de Satan. Si vous ne le com­prenez pas, vous allez reprocher à Dieu de ne pas vous exaucer ou de ne pas vous pro­téger, alors qu’il vous aver­tit d’un dan­ger ». « Pour un peu de temps, [vous êtes] affligés par divers­es épreuves, afin que votre foi [soit] éprou­vée » (1P 1.6–7). Lorsque le forg­eron met une pièce à répar­er sur l’enclume, il refond le métal, comble les fis­sures, bouche les trous, élim­ine les impuretés pour redonner à l’objet l’usage qu’il n’avait plus. Finale­ment, il plonge le métal dans l’eau froide pour qu’il dur­cisse et soit à nou­veau un objet utile et solide. Max Luca­do a écrit : « Un out­il ne sert que s’il est opéra­tionnel. Un bon forg­eron garde ses out­ils en bon état. Dieu le fait aus­si. S’il choisit de vous met­tre sur l’enclume, soyez-lui recon­nais­sant de vous trou­ver digne d’être retravaillé ».