Nous sommes, à juste rai­son, appelés la « généra­tion micro-ondes », celle qui veut tout, tout de suite. Mais Dieu a son rythme pro­pre et rien ne peut le bous­culer. C’est pourquoi, lorsqu’il vous fait atten­dre, con­trôlez votre langue. Elle est comme un petit gou­ver­nail sur un grand navire. Vos paroles fix­ent votre cap et peu­vent empêch­er les mau­vais­es pen­sées de pénétr­er votre esprit. Mel Wel­don a dit : « Mon esprit est un jardin et mes pen­sées sont des semences. Je récolterai soit des fleurs soit des mau­vais­es herbes ». Deman­dez à Dieu de con­trôler vos émo­tions. Paul a dit : « Réjouis­sez-vous en espérance. Soyez patients dans la tribu­la­tion. Per­sévérez dans la prière ». Vos plaintes ne font qu’amplifier les prob­lèmes. La prière trans­forme une énergie néga­tive en énergie pos­i­tive. Salomon a dit : « Le cœur con­tent est un fes­tin per­pétuel » (Pr 15.15). Le rire atténue la ten­sion, allège le fardeau et rem­plit votre cœur de joie. Appré­ciez cette chance de pou­voir appren­dre. Pour les Chi­nois, chaque prob­lème est une oppor­tu­nité. Chez-eux, les mots « prob­lème » et « oppor­tu­nité » sont représen­tés par le même idéo­gramme. Salomon a dit : « Il est pré­cieux pour un homme d’être act­if » (Pr 12.27, BFC). Tirez les leçons de vos expéri­ences, aus­si dures soient-elles, et sou­venez-vous que cer­taines des plus grandes décou­vertes sont issues de crises. Aimez sans con­di­tion. Face à un prob­lème humain, il est ten­tant, quand on est sous pres­sion, de chercher un bouc émis­saire. En résumé : nous faisons tous des erreurs, mais tout le monde peut être relevé. N’êtes-vous pas soulagé ? Lorsque vous êtes stressé, restez cour­tois et sere­in (voir Ro 12.10).