Un auteur a écrit : « À l’occasion d’une vis­ite chez mes par­ents, je suis allé chez le coif­feur de ma mère. Pen­dant que Jim me coupait les cheveux, nous avons par­lé de choses spir­ituelles et plus nous par­lions, plus il coupait ! À la fin, mes cheveux étaient trop courts, mais notre con­ver­sa­tion sur Jésus en valait bien la peine. Plus tard, lorsque j’ai sug­géré à ma mère d’inviter Jim et son épouse à l’église, elle m’a répon­du : “Tu n’y pens­es pas, ça ne les intéressera jamais. Ils ont une vie de débauche, et je ne con­nais pas de gens plus éloignés de Dieu”. Cepen­dant, lorsqu’elle est retournée chez Jim, elle a fait cette prière : “Seigneur, je ne pense pas que ces gens s’intéressent à toi, mais si tu veux que je par­le de toi, fais-moi un signe”. Ce jour-là, Jim lui a dit : “J’ai cru com­pren­dre que vous fréquen­tiez une église. Nous aime­ri­ons vous accom­pa­g­n­er”. Pam et Jim y sont allés et se sont con­ver­tis. Tout avait com­mencé par une dis­cus­sion dans un salon de coif­fure. Cela n’ar­rive que trop rarement. La plu­part des chré­tiens préfèrent rester entre eux. Pour les choses impor­tantes, en par­ti­c­uli­er les ques­tions spir­ituelles, les gens écoutent ceux qui sont dignes de con­fi­ance. Paul a dit : “Et com­ment croiront-ils en lui […] si per­son­ne ne l’annonce ?” Si des gens vien­nent à Christ, ce sera le plus sou­vent par des amis, et non par des incon­nus. C’est pourquoi, entretenez une bonne rela­tion avec le serveur de votre restau­rant habituel ou avec vos parte­naires sportifs. Invitez vos voisins à dîn­er. Suiv­ez l’exemple de Christ en sym­pa­thisant avec ceux qui ne con­nais­sent pas Dieu ».