À la nais­sance de Jésus, les grandes préoc­cu­pa­tions étaient la baisse des impôts et le change­ment de gou­verne­ment. Ça vous rap­pelle quelque chose ? Con­cer­nant la cap­i­tale Jérusalem, nous lisons : « À cette nou­velle le roi Hérode fut trou­blé, et tout Jérusalem avec lui » (Mt 2.3). Résul­tat, le roi s’est ren­du coupable d’une des plus grandes atroc­ités de l’Histoire : pour être sûr de tuer Jésus, il a fait exé­cuter tous les garçons de moins de deux ans. Encore aujourd’hui, Jésus provoque de fortes réac­tions dans le cœur des gens. C’est la rai­son pour laque­lle il a dis­paru des salles de classe, des tri­bunaux et des hauts lieux du pou­voir. Les puis­sances des ténèbres font tout pour effac­er son nom, son influ­ence et son autorité de toute vie publique. Pourquoi ? Parce que lorsque vous avez mis Dieu de côté, il n’existe pas de pou­voir plus grand que celui de l’homme. Ce dernier peut alors se pren­dre pour Dieu. Lénine, le père du com­mu­nisme en Russie, a dit de Christ : « Son roy­aume est invis­i­ble, son règne est dans le cœur des hommes. On ne peut donc pas le tolér­er ». Ain­si, plus de vingt mil­lions de Russ­es sont morts en essayant de bâtir un État athée. Mais cette lutte est inutile et per­due d’avance. À la fin, « tout genou fléchi­ra devant moi, et toute langue don­nera gloire à Dieu » (Ro 14.11). Toutes les prophéties con­cer­nant sa pre­mière venue se sont accom­plies à la let­tre, et celles con­cer­nant sa sec­onde venue s’accompliront aus­si. Si vous désirez le ren­con­tr­er, aban­don­nez-lui votre vie aujourd’hui et acceptez-le comme votre Sauveur.