Une monitrice d’école du dimanche écrit : « Je voulais apprendre aux enfants que nous avons tous besoin du pardon de Dieu. J’ai demandé à Lisa : “Quand as-tu besoin du pardon de Dieu ?” Son silence a incité mon fils à intervenir : “Tu n’es pas obligé de répondre, Lisa.” Puis il m’a dit : “On n’a pas à te parler de nos problèmes. On n’est pas au spectacle.” » Pas besoin de parler de ses péchés aux autres, mais il faut en parler à Dieu. David a dit : « Tant que je me suis tu […] ta main pesait sur moi » (Ps 32.3–4). La confession a quatre effets. 1) On expérimente le pardon de Dieu. Il connaît nos péchés et pardonne si on ne se cherche pas d’excuses. La Bible est claire : « Si nous confessons nos péchés […] il pardonnera nos péchés ». À chacun de faire le premier pas. 2) Elle restaure l’énergie physique et mentale. Rien de plus fatigant que le déni, et rien de plus revigorant que de jouer cartes sur table. David dit encore : « Ma force vacille à cause de ma faute » (Ps 31.11). À propos de son aventure avec Bathsheba, il avoue : « Tant que je me suis tu […] ma vigueur n’était plus que sécheresse […] Je t’ai fait connaître mon péché […] tu as enlevé la faute » (Ps 32.3–5). 3) Elle permet d’avancer. Grâce à la confession on repart à zéro. Il faut laisser le passé derrière soi et ne plus se retourner. 4) Elle permet de grandir. Thomas Edison a déclaré : « Je n’ai pas échoué. J’ai simplement trouvé 10 000 solutions qui ne fonctionnent pas. » Pour que l’échec soit positif, il faut le confesser à Dieu et accepter son pardon.
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