Le brevet pour affron­ter la dépres­sion. Si vous en nég­ligez le diag­nos­tic, la dépres­sion peut vous causer des dom­mages. Vous pou­vez pass­er à côté d’un bon emploi, d’un mariage heureux ou som­br­er dans l’alcool et la drogue. La dépres­sion, c’est comme un écrase­ment. Main­tenant vous savez pourquoi vous rechignez par­fois à sor­tir du lit le matin. Le mot « dépres­sion » n’est pas men­tion­né dans l’Écriture. Le syn­onyme le plus proche est l’inquiétude. « L’in­quié­tude dans le cœur de l’homme l’ac­ca­ble » (Pr 12.25). Jamais vous n’aurez de bataille plus rude que celle engagée con­tre votre pro­pre pen­sée. Quelle est la solu­tion ? Proclamer la parole de Dieu, à haute voix ! « Dieu adit : “Je ne te lais­serai pas, je ne t’a­ban­don­nerai jamais”. C’est pourquoi nous pou­vons affirmer avec con­fi­ance : “Le Seigneur est celui qui vient à mon aide, je n’au­rai peur de rien. Que peu­vent me faire les hommes ?” » (Hé 13.5–6, BFC). Sarah Utter­bach remar­que : « Après avoir dit : “Dieu ne me lais­sera pas, ne m’abandonnera jamais”, les gens retour­nent se débat­tre dans leurs prob­lèmes. Ce faisant, ils affaib­lis­sent la puis­sance des pro­pos divins. Le Saint-Esprit ne peut agir sur la Parole qu’au moment où vous dites ce que Dieu dit ». Quand vous restez dans vos soucis, vous pilotez à vue. Mais quand vous acceptez et vous appuyez sur la Parole de Dieu, vous pilotez aux instru­ments. Alors entrez dans la Parole de Dieu, lais­sez-la vous pénétr­er, et proclamez-la sur votre vie. « La parole qui sort de ma bouche ne revient pas vers moi sans résul­tat : elle réalise ce que je veux, elle accom­plit la mis­sion que je lui ai con­fiée » (Esa 55.11, PDV).