Parole du Jour m'apporte tellement de réconfort au quotidien ! Les extraits de la Parole et les conseils me procurent une telle joie, c'est pour moi un appui indispensable !" Corinne Je fais un don
Au moment de son intronisation, le roi Saül était « caché du côté des bagages ». En hébreu, les « bagages » sont les limitations que l’on s’impose et qui nous freinent dans la tâche que Dieu nous confie. En voici trois exemples. 1) Le sentiment d’inaptitude. Quand Saül apprend qu’il a été choisi, il dit : « Ne suis-je pas de l’une des plus petites tribus d’Israël ? Mon clan n’est-il pas le plus petit ? » (1S 9.21). Si on n’inclut pas Dieu dans l’équation, on se sentira toujours inférieur. Au lieu de se focaliser sur nos faiblesses, concentrons-nous sur « la grandeur surabondante de sa puissance » (Ep 1.19). 2) Le qu’en-dira-t-on. La Bible dit : « La frayeur devant les hommes tend un piège » (Pr 29.25). Et Saül est tombé dedans la tête la première ! Quand Samuel lui a reproché de ne pas avoir tué les Amalécites, il a répondu : « Je craignais le peuple et j’ai écouté sa voix » (1S 15.24). Mais la Parole dit : « Je ne te délaisserai pas ni ne t’abandonnerai. Nous pouvons dire avec courage : Le Seigneur est mon secours ; je n’aurai pas de crainte. Que peut me faire un homme ? » (Hé 13.5–6). Une fois cette vérité saisie et pratiquée, il n’y a plus rien à craindre. 3) Le scepticisme. Jacques dit : « Celui qui hésite est un homme à l’âme partagée, inconstant dans toutes ses voies » (Ja 1.8). Et Saül en était l’incarnation ! Au lieu d’attendre Dieu, il a pris les choses en main et consulté un médium. Et malgré son serment, il a traqué David sans relâche. S’adapter ne suffit pas : Dieu exige cohérence et engagement.
"Je suis très reconnaissante pour la radio PHARE FM et le fascicule Parole du Jour. Je vous écoute tous les jours. Combien de fois Dieu m’a parlé au travers des écrits et de messages à la radio. Merci !" Christelle Je fais un don