C’est l’histoire d’une femme riche à bord du Titanic. Lorsque le navire heurte l’iceberg, on lui réserve une place dans un canot de sauvetage et on lui accorde trois minutes pour retourner dans sa cabine. Ignorant l’argent et les pierres précieuses renversées sur le sol, elle prend trois oranges et retourne sur le pont. Les circonstances ont bouleversé ses valeurs et modifié ses priorités. La question n’est pas de savoir si l’agenda est rempli, mais ce qui le remplit. Si on est sage, on va consulter Dieu pour connaître les bonnes priorités et les avoir toujours à l’esprit (voir Pr 3.6). Lors d’une enquête, on a demandé à des personnes de plus de 90 ans : « Si vous pouviez revivre votre vie, que feriez-vous de différent ? » Trois réponses reviennent souvent : 1) Je passerais plus de temps avec ma famille et mes amis. 2) Je tenterais plus de choses et prendrais plus de risques. 3) Je me consacrerais à une noble cause. Les choses insignifiantes sont chronophages. On vit avec de mauvaises priorités. Si on se disperse, on n’arrive pas à faire tout ce que Dieu demande. Paul l’avait bien compris. Il affirme : « Ce qui m’importe, c’est d’aller jusqu’au bout de ma mission, et d’achever la tâche que m’a confiée le Seigneur Jésus ». Une vie où tout est permis est une vie inutile. Le plus grand défi est de penser et de faire des choses qui importent. La Bible dit : « Avec un peu de sagesse ils comprendraient où tout cela les mène » (De 32.29, BFC).
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