2) Discipline ou châtiment. Salomon dit : « Les enfants aiment ce qui est déraisonnable. Quelques bonnes corrections les guériront de cette tendance » (Pr 22.15, BFC). Pour Dieu, correction n’est pas punition. Discipliner et corriger, c’est enseigner. Punir, c’est faire souffrir un enfant à l’excès. Il a besoin de discipline, et non de punition, souvent administrée par un parent frustré et en colère. « N’hésite pas à corriger ton enfant ». Refuser la discipline le prépare à une vie d’échec et de souffrance. La discipline vise à améliorer son comportement. Elle enseigne le bien et le mal en montrant les conséquences de ses choix. Peu importe la sanction, elle doit toujours être dans l’intérêt de l’enfant, sans jamais lui infliger une souffrance gratuite. 3) Amour ou laxisme. Le matérialisme les confond souvent. Des parents aimants donnent sans gâter, se retiennent pour le bien de l’enfant et le motivent par des récompenses appropriées. Les parents laxistes cèdent à tous ses caprices, ce qui le rend irresponsable. Les enfants gâtés développent un sentiment de droit et s’attendent à ce que les autres existent pour leur plaire. Les parents laxistes ont souvent peur que leurs enfants ne les aiment pas. Ils confondent indulgence et amour et engendrent des enfants qui exigent, manipulent et ne sont jamais satisfaits. L’amour nécessite de parler, d’écouter, de comprendre, de rire, de partager des moments difficiles, de respecter et d’encourager vos enfants sans réserve. Un tel amour ne coûte rien mais vaut tout.
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