"Je me suis rendu compte, en lisant Parole du Jour, que je commençais à voir les choses différemment." Hélène Je fais un don
La Bible dit : « Puisque ces enfants sont tous des êtres de chair et de sang, Jésus lui-même est devenu comme eux […]. C’est ainsi que, par sa mort, il a pu […] délivrer ceux que la peur de la mort rendait esclaves durant leur vie entière » (v.14–15). Un théologien de renom affirme : « Le tombeau du Christ a été le berceau d’une croyance inébranlable que la mort est vaincue et qu’il y a une vie éternelle. Il est inutile de citer Platon, inutile de consulter les religions orientales ou les idées et la littérature du judaïsme tardif. Tout ça est périssable. Mais la certitude de la résurrection et d’une vie éternelle qui est liée à la tombe dans le jardin de Joseph n’a pas disparu. Et sur la conviction que Jésus vit, on s’appuie encore sur ces espérances de citoyenneté dans une ville éternelle, qui rendent l’existence terrestre digne d’être vécue et tolérable. Car il a délivré “ceux que la peur de la mort rendait esclaves durant leur vie entière”. » Bonne nouvelle : on n’a plus à être lié par la crainte de la mort ! Simon Greenleaf, professeur émérite de droit à Harvard, l’une des plus grandes autorités mondiales en matière de preuves juridiques, s’est penché sur celles de la résurrection de Jésus-Christ. Il a conclu que l’évidence était telle que n’importe quel tribunal impartial au monde l’aurait objectivement déclarée « fait historique ». Alors que veut dire tout ça pour nous les croyants ? Simplement ceci : la résurrection du Christ garantit la nôtre !