C’est à la lec­ture d’un tes­ta­ment que vous con­nais­sez votre héritage. Dans l’An­cien Tes­ta­ment, les béné­fices étaient grands, mais les con­di­tions trop restric­tives. Dieu nous a donc don­né un Nou­veau Tes­ta­ment. Il n’est plus basé sur des lois virtuelle­ment impos­si­bles à suiv­re, mais sur la grâce, faveur que vous ne méritez pas, ne pou­vez gag­n­er et pour laque­lle vous n’avez pas à tra­vailler car elle est gra­tu­ite. Lorsque vous décou­vrez que votre nom est inscrit dans ce « tes­ta­ment », lire la Bible devient une vraie source de joie. Vous com­mencez à dire : « Qu’est-ce que Dieu me donne ? À quel héritage ai-je droit ? » Vous réalisez que votre salut, aus­si glo­rieux soit-il, n’est que le point de départ. Soudain, l’idée d’é­tudi­er la Bible, de s’ap­puy­er sur elle et de la citer en toutes cir­con­stances n’ap­pa­raît plus comme un devoir mais comme un plaisir. Quand vous priez en accord avec la Parole, c’est comme si vous alliez à la banque céleste en dis­ant : « Ce chèque est à mon nom. Il a été émis et signé par Christ, et j’aimerais l’en­caiss­er ». Un chré­tien a deux options : il peut vivre et mourir sans avoir jamais eu accès à son compte parce qu’il n’a jamais décou­vert sa part d’héritage dans le tes­ta­ment de Dieu. Ou alors, il peut prier : « Père, les dernières volon­tés du Christ me citent per­son­nelle­ment. Elles dis­ent que tous mes besoins seront assurés, mes pas guidés, ma mal­adie guérie, que je n’ai pas à crain­dre Satan car tu m’as “don­né le pou­voir” (Lu 10.19) sur lui ». Com­prenez-vous main­tenant pourquoi Satan ne veut pas vous voir lire votre Bible ?