"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Peu importe les dif­fi­cultés, sou­venez-vous qu’elles passent tou­jours. La vie ne reste pas figée. Il y aura tou­jours des épreuves. Ne les lais­sez pas détru­ire votre con­fi­ance. Con­sid­érez-les plutôt comme une occa­sion de grandir. Le jour où vous aurez suff­isam­ment gran­di là où Dieu pense que vous avez besoin de plus de matu­rité, vous pour­rez pass­er à autre chose. Rien n’est défini­tif. Même si c’est dif­fi­cile de le croire sur le moment, « tu ne garderas pas plus de sou­venirs de tes mal­heurs présents que de l’eau écoulée ». Un auteur écrit : « L’ou­bli n’est pas l’am­nésie. C’est attein­dre un point où le mal­heur est retiré de la mémoire comme le poi­son l’est d’une mor­sure de ser­pent. Une fois retiré, la guéri­son est cer­taine. Les sou­venirs devien­dront comme “de l’eau écoulée”. L’eau qui coule ne revient pas ». Kristin Arm­strong racon­te : « Dans l’Ancien Tes­ta­ment, lors d’un décès, ceux qui étaient dans le deuil se cou­vraient le vis­age de cen­dres. Ils restaient ain­si pen­dant quelque temps, puis se net­toy­aient et allaient de l’a­vant. N’est-ce pas plus sain que dans notre société ? On se maquille, on prend un air joyeux ou impas­si­ble, et on ne veut pas que les gens aient de la com­pas­sion et nous per­cent à jour. On passe son temps à se cacher, mais à l’in­térieur on croule sous les cen­dres. Dieu nous appellera à nous lever et briller quand notre lumière paraît (Esa 60.1). Deman­dez-lui de vous prévenir et soyez prêt à vous laver le vis­age ». Puis passez à autre chose.

"Merci pour Parole du Jour, toujours aussi parlante à mon cœur. Elle me fait grandir et me remplit de joie dans ce monde chaotique." Monique Je fais un don