Parole du Jour 
La préférence au plus faible
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"Bonjour, Je voulais vous remercier pour tous ces messages quotidiens qui me font du bien. Ils confirment souvent ce que je vis et me donnent beaucoup de réponse. Cela me rapproche de Dieu." Michèle Je fais un don

Les bons par­ents essaient d’aimer tous leurs enfants de la même manière. Mais c’est l’enfant qui a le plus besoin d’eux qui obtient le plus d’attention de leur part. Erma Bombeck dis­ait : « Toutes les mamans ont un enfant préféré. C’est humain. Moi aus­si j’ai un enfant auquel je suis un peu plus attachée, que j’aime d’une façon que per­son­ne ne pour­ra jamais com­pren­dre. Mon enfant préféré, c’est celui qui est malade le jour de son anniver­saire, qui a la rouge­ole à Noël, qui porte des appareils orthopédiques pour redress­er ses jambes, qui a de la fièvre au beau milieu de la nuit, ou qui fait une crise d’asthme, l’enfant que je tiens dans mes bras aux urgences. C’est celui qui rate son audi­tion de piano, qui fait de grossières fautes d’orthographe, qui mar­que con­tre son camp, qui se fait vol­er son vélo par dis­trac­tion. Mon enfant préféré est égoïste, imma­ture, iras­ci­ble et nom­briliste. Il est aus­si vul­nérable, soli­taire, inca­pable de trou­ver sa place dans ce monde, et pour­tant si mer­veilleux. Tout le monde a son enfant préféré, et c’est tou­jours le même : le garçon ou la fille qui a le plus de besoins sur le moment. Ces besoins se jus­ti­fient de mille et une façons : l’attachement, la colère ver­bale, l’envie de faire souf­frir, la soif de câlins, le trans­fert de cul­pa­bil­ité ou le sim­ple besoin de com­pag­nie. » On peut aus­si enten­dre ce que dit Jésus à pro­pos du fils prodigue : « Comme il était encore loin, son père le vit et fut touché de compassion ».

"Les exhortations de Parole du Jour ont contribué à réellement changer ma vie. Je vous lis et vous écoute en sachant qu'une bénédiction va m'accompagner. Merci infiniment." Albéric Je fais un don