"Dieu m'a invitée à travers Parole du Jour à retrouver une pratique régulière et à me rendre dans une église ouverte et accueillante." Hélène Je fais un don

Peu importe les dif­fi­cultés, sou­venez-vous qu’elles passent tou­jours. La vie ne reste pas figée. Il y aura tou­jours des épreuves. Ne les lais­sez pas détru­ire votre con­fi­ance. Con­sid­érez-les plutôt comme une occa­sion de grandir. Le jour où vous aurez suff­isam­ment gran­di là où Dieu pense que vous avez besoin de plus de matu­rité, vous pour­rez pass­er à autre chose. Rien n’est défini­tif. Même si c’est dif­fi­cile de le croire sur le moment, « tu ne garderas pas plus de sou­venirs de tes mal­heurs présents que de l’eau écoulée ». Un auteur écrit : « L’ou­bli n’est pas l’am­nésie. C’est attein­dre un point où le mal­heur est retiré de la mémoire comme le poi­son l’est d’une mor­sure de ser­pent. Une fois retiré, la guéri­son est cer­taine. Les sou­venirs devien­dront comme “de l’eau écoulée”. L’eau qui coule ne revient pas ». Kristin Arm­strong racon­te : « Dans l’Ancien Tes­ta­ment, lors d’un décès, ceux qui étaient dans le deuil se cou­vraient le vis­age de cen­dres. Ils restaient ain­si pen­dant quelque temps, puis se net­toy­aient et allaient de l’a­vant. N’est-ce pas plus sain que dans notre société ? On se maquille, on prend un air joyeux ou impas­si­ble, et on ne veut pas que les gens aient de la com­pas­sion et nous per­cent à jour. On passe son temps à se cacher, mais à l’in­térieur on croule sous les cen­dres. Dieu nous appellera à nous lever et briller quand notre lumière paraît (Esa 60.1). Deman­dez-lui de vous prévenir et soyez prêt à vous laver le vis­age ». Puis passez à autre chose.

"Pour moi c'est un régal de méditer chaque jour Parole du Jour. Je vis la Parole et je l'expérimente. Je veux vraiment vous féliciter pour votre travail qui porte du fruit." Joséphine Je fais un don