Par­lons du blocage de la crois­sance intel­lectuelle. Par­fois on se sert de ver­sets comme « Dieu a choisi les choses folles du monde pour con­fon­dre les sages » (1Co 1.27) pour jus­ti­fi­er notre incul­ture. Dieu a dit : « Mon peu­ple périt, parce qu’il lui manque la con­nais­sance » (Os 4.6). Une sen­sa­tion d’accomplissement unique accom­pa­gne la crois­sance intel­lectuelle. En gran­dis­sant en con­nais­sance et en com­préhen­sion, vous êtes moins vul­nérable à la cri­tique, à l’indifférence et aux affronts. Votre valeur ne dépend plus des autres parce que vous vous mesurez à l’aune de votre crois­sance per­son­nelle ! L’auteur des Proverbes dit : « Un cœur intel­li­gent acquiert la con­nais­sance, et l’or­eille des sages recherche la con­nais­sance » (Pr 18.15). « L’or­eille qui entend, et l’œil qui voit, c’est l’Éter­nel qui les a faits l’un et l’autre » (Pr 20.12). On apprend en écoutant et en obser­vant ! Mais pas en restant des heures devant la télévi­sion qui endort le cerveau et vous empêche de tenir une con­ver­sa­tion. La Bible dit : « Le fer aigu­ise le fer, ain­si un homme aigu­ise la per­son­nal­ité de son prochain » (Pr 27.17). Pour grandir et être affûté, il vous faut des per­son­nes autour de vous qui vous aigu­isent. Voici trois activ­ités-clés déter­mi­nantes pour votre avenir. 1) Le temps passé avec Dieu. 2) Les rela­tions que vous bâtis­sez. 3) Les livres que vous lisez et en pre­mier lieu la Bible. Dernier point : à chaque fois que vous lisez et recevez une bonne pen­sée, ou que vous expéri­mentez un grand moment, notez-le pour ne pas l’oublier.