Un homme atteint d’une peur bleue du tonnerre va consulter un psychiatre. Le diagnostic tombe : « Vous souffrez de bronthémophobie. C’est bête à votre âge. Imaginez que c’est juste un roulement de tambour dans la symphonie de votre vie. » Le gars demande : « Et si ça ne marche pas ? » Le praticien répond : « Alors faites comme moi. Quand vous entendez le tonnerre, bouchez-vous les oreilles, plongez sous le lit et chantez à tue-tête jusqu’à la fin de l’orage. » Sérieusement, la plupart des craintes reposent sur des émotions, non sur des faits réels. Cherchez au-delà de vos peurs et découvrez ce qui les provoque. Si vous avez grandi dans la pauvreté, vous pouvez craindre d’être généreux. Si vous avez été abandonné(e), soit vous ne faites plus confiance aux gens, soit vous vous accrochez à eux et cherchez à les contrôler. Autrefois on vous a maltraité(e), l’intimité pourra vous terrifier. À force de subir la critique, vous allez croire que Dieu ne va pas vous pardonner. Si vous mésestimez votre charme, votre intelligence ou votre niveau social, vous aurez du mal à parler en public par crainte de subir des regards méprisants. Un humoriste a écrit: « Avant de mourir, chacun devrait s’efforcer de réaliser ce à quoi il tente d’échapper, ce vers quoi il court et pour quelle raison. » David n’a pas seulement cerné l‘origine de ses peurs, mais aussi celle de sa valeur et de son assurance. « Je te célèbre ; car je suis une créature merveilleuse ». Si vous savez que vous avez l’approbation de Dieu, vos craintes vont disparaître.